Selonle ministre de la Défense, Anatoli Serdioukov, l’armée russe devrait être recevoir, en 2011, « deux sous-marins stratégiques, 36 missiles balistiques, 20 missiles stratégiques de croisière, cinq appareils spatiaux, 35 avions, 109 hélicoptères, trois sous-marins nucléaires polyvalents, un bâtiment de surface et 21 systèmes de missiles sol-air ». En1943, l’homme n’est encore qu’un jeune soldat britannique de 18 ans, qui participera par la suite au D-Day, devenant ainsi un héros de la Seconde Guerre mondiale. Ilsse situent au nord-ouest de la Russie, bordés au nord par la mer de Barents, la mer Blanche et la mer de Kara, et au sud-ouest par la mer Baltique. Les pays frontaliers sont la Norvège, la Finlande, les pays baltes et la Pologne. La population du nord-ouest de la Russie est d’environ 17 millions d’habitants (soit 11% de la population Laprobabilité que la Chine vienne en aide, de quelque manière que ce soit, à la Russie est donc inexistante. "À partir du moment où la Chine reste au-dessus de la mêlée et ne se joint pas aux sanctions économiques, alors elle demeure un partenaire vers lequel la Russie va se tourner. Et si la Chine ne répond pas aux demandes LaRussie est absente de l’exercice naval Dynamic Monarch, organisé par l’Otan en Baltique, suite à la suspension de toute coopération civile et militaire avec ce pays en raison de l'intervention en Ukraine. Cet exercice triennal de sauvetage sous-marin se déroule du 12 au 23 mai à partir du port de Gdynia (nord de la Pologne). Il 1t93Ka2. Europe La mesure envisagée par Laurent Fabius comme sanction contre la Russie pourrait coûter à la France un milliard d'euros et près de 1 000 emplois. Fallait-il livrer à la Russie un porte-hélicoptères Mistral ? Et faut-il livrer le second ? La France est embarrassée par un contrat de vente de deux navires militaires à Moscou, alors que l'occident a décidé de mesures de sanction suite au conflit ukrainien. Explications. 1. Que sont ces contrats ? Signé en juin 2011, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, le contrat prévoit la construction et la vente de deux navires porte-hélicoptères à la Russie, pour 1,12 milliard d'euros. La construction est assurée par l'entreprise française DCNS, à Saint-Nazaire. Le marché inclut des transferts de technologie pour environ 220 millions d'euros, ainsi qu'une formation des équipages russes. Les deux navires s'appellent Vladivostok et Sébastopol. Le premier doit être livré fin 2014. Son assemblages s'est terminé à l'été 2013, et les premiers essais en mer ont eu lieu début mars. Le Sébastopol, du nom de la ville de Crimée dont le rattachement à la Fédération de Russie doit être entériné par la Douma russe jeudi 20 mars, doit, lui, être livré fin 2016. La construction de ces navires, fabriqués à Saint-Nazaire Loire-Atlantique, a permis de créer 1 000 emplois en France. 2. 2. Pourquoi posent-ils problème ? Dans le cadre des sanctions envisagées contre la Russie suite à la crise ukrainienne, le ministre français des affaires étrangères, Laurent Fabius avait évoqué la possibilité de suspendre la livraison des deux navires. Un contrat qui date de 2011 Une commande stratégique pour la Russie Pour Vladimir Poutine, l'acquisition des deux Mistral constituent un atout militaire important. Fleurons de la marine française, les porte-hélicoptères BPC Mistral bâtiments de projection et de commandement sont surnommés les couteaux suisses » pour leur grande polyvalence. Ils peuvent en effet combiner les fonctions de commandement, de transport de troupes et d'hôpital. Pour l'instant, les Russes n'ont aucun bâtiment ayant cette capacité de projection et de commandement », explique Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l'Institut des relations internationales et stratégiques IRIS. Et leurs chantiers ne sont pas en mesure d'en construire. » De plus, le bateau comporte des équipements de haute technologie dont la Russie ne dispose pas un système de communication pour le combat tactique, le Senit 9, mais aussi un radar sophistiqué. La signature du contrat avait d'ailleurs soulevé des critiques, au sein de l'OTAN, au vu de l'importance stratégique des navires. Les négociations avaient en effet commencé en 2008, peu après l'attaque de la Géorgie par la Russie, et les pays de l'est de l'Europe s'inquiétaient des vélléités militaires russes. Ce que la France peut y perdre L'entreprise DCNS a sous-traité une grande partie de la construction des BPC auprès de STX France. La commande a permis de créer environ 1 000 emplois à temps plein sur quatre ans – la plus grande partie chez STX France, à qui appartient le site de Saint-Nazaire. Le deuxième Mistral ne devant être livré que fin 2016, rien ne garantit que ces postes pourront être sauvés si la France met fin au contrat. Le vice-premier ministre russe, Dmitri Rogozine, n'a d'ailleurs pas manqué d'insister sur ce point. Notre collègue [Laurent Fabius] n'est peut-être pas au courant du nombre d'emplois créés en France grâce à notre partenariat », a-t-il indiqué sur Twitter. Outre la perte des emplois, le coût pour la France d'une annulation de la vente serait très élevé l'Etat devra couvrir le risque par la Coface qui gère les garanties publiques à l’exportation pour le compte de l’État, à hauteur, selon nos informations, d'un milliard d'euros net… qu'il faudrait compter dans le budget national. Sur Europe 1, le 18 mars, Laurent Fabius s'est d'ailleurs montré assez embarrassé. Affirmant qu'on ne ne peut pas envisager de livrer en permanence des armements [à la Russie] compte tenu de ce comportement », il a aussi reconnu qu' il y a la réalité de l'emploi et de l'économie ». Il a souligné qu'un embargo ne serait pris que dans le cadre de sanctions générales », auxquelles participeraient les autres Etats européens. Jeudi 20 mars, le ministre de la défense, Jean-Yves Le Diran, a quant à lui assuré que la question se posera au mois d'octobre », date prévue de livraison du premier bâtiment. Si le contrat devait finalement être annulé, il serait toujours possible de revendre les navires, à condition de leur trouver un acquéreur. Ce type d'équipement est plus facile à revendre qu'un sous-marin nucléaire ou qu'un porte-avions, estime Robert Ranquet, ingénieur général de l'armement et directeur adjoint de l'Institut des hautes études de la défense nationale IHEDN Comme il peut être utilisé pour des missions non militaires, comme de l'humanitaire, il est susceptible d'intéresser plusieurs pays. » A condition, bien sûr, que l'Etat en question ait le budget nécessaire pour l'acheter. Jean Comte et Nathalie Guibert Lire aussi A Saint-Nazaire, les chantiers STX reçoivent deux commandes de paquebots Le Monde Si vous aimez les mots croisés, rejoignez gratuitement notre communauté Solutions Mots Fléchés et rejoignez des milliers d'utilisateurs qui s'entraident pour résoudre les jeux de puzzle les plus complexes chaque jour ! La Russie a 11 fuseaux horaires sur son vaste territoire – et ses dirigeants pensent que c’est tout simplement trop d’heures dans la Russie s’étend sur 11 fuseaux est la superficie du territoire russe couverte ?Liste des pays et dépendances classés par zonePays% de la masse continentale mondiale1Russie11,0 %2Canada6,1 %3Chine6,3 %4États-Unis6,1 %Pourquoi la Russie a-t-elle 11 fuseaux horaires ?Dans l’Empire russe, les chemins de fer utilisaient l’heure de Saint-Pétersbourg pour tous les horaires. Officiellement, la Russie n’a rejoint le système international de fuseaux horaires qu’après la révolution bolchevique. En 1919, le pays était divisé en 11 fuseaux horaires avec des frontières qui longeaient les chemins de fer et les Russie a-t-elle 8 fuseaux horaires ?Il y a onze fuseaux horaires en Russie, qui observent actuellement des heures allant de UTC 0200 à UTC + 1200. L’heure d’été DST n’est plus utilisée en Russie depuis le 26 octobre sont les 11 fuseaux horaires de la Russie ?La Russie utilise actuellement onze fuseaux horaires standard, le fuseau horaire russe 1 UTC + 2, le fuseau horaire russe 2 UTC + 3, le fuseau horaire russe 3 UTC + 4, le fuseau horaire russe 4 UTC + 5, l’heure russe Fuseau horaire 5 UTC + 6, fuseau horaire russe 6 UTC + 7, fuseau horaire russe 7 UTC + 8, fuseau horaire russe 8 UTC + 9, fuseau horaire russe 9 UTC + 10.Combien y a-t-il de fuseaux horaires ?24 fuseaux horairesLe monde est divisé en 24 fuseaux horaires. Le déroulement d’une journée est décomposé en secondes et calculé pour définir l’heure exacte d’un lieu particulier. Cependant, ce n’est pas si facile. Les 24 fuseaux horaires, créés en fonction de chaque heure de la journée, sont théoriquement dessinés verticalement comme les longitudes du se fait-il que la Russie ait autant de terres ?Sous Ivan le Terrible 1533-1584, les cosaques russes se sont déplacés pour conquérir des terres de l’autre côté des montagnes de l’Oural en Sibérie et en Extrême-Orient. Ces régions représentent 77% de la superficie totale de la Russie. En d’autres termes, c’est la conquête de la Sibérie qui a fait de la Russie le plus grand pays Russie a-t-elle beaucoup de terres ?En termes de territoire, la Russie est le plus grand pays du monde. Avec une superficie totale de 17 075 200 kilomètres 6 592 735 milles carrés, la Russie couvre environ un huitième de la surface terrestre du Russie a-t-elle deux fuseaux horaires ?Quel pays a le plus de fuseaux horaires ?La Russie est le pays qui a le plus grand nombre de fuseaux horaires consécutifs. Les fuseaux horaires russes sont UTC-2, UTC-3, UTC-4, UTC-5, UTC-6, UTC-7, UTC-8, UTC-9, UTC-10, UTC-11 et Russie a-t-elle 11 ou 12 fuseaux horaires ?Combien de fuseaux horaires la Russie a-t-elle dans le monde ?Alors que la France et ses dépendances s’étendent sur 12 fuseaux horaires, la Russie détient un autre record du monde 10 des 11 fuseaux horaires du pays couvrent une masse continentale contiguë – seule l’enclave russe de Kaliningrad, coincée entre la Lituanie et la Pologne, rompt ce commence l’heure d’été en Russie ?Il y a onze fuseaux horaires en Russie, qui observent actuellement des heures allant de UTC 0200 à UTC + 1200. L’heure d’été n’est pas utilisée en Russie depuis le 26 octobre 2014. Du 27 mars 2011 au 26 octobre 2014, l’heure d’été permanente a été est le pays avec le plus de fuseaux horaires ?Avec ses 11 heures locales, la Russie est l’un des pays avec le plus de fuseaux horaires au était le fuseau horaire en Union soviétique ?Après la création de l’Union soviétique, l’heure de Moscou est devenue UTC 0200 et les divers autres fuseaux horaires jusqu’à UTC+1200 ont été introduits dans toute la Russie et le reste de l’Union soviétique, par exemple l’heure d’Irkoutsk UTC+07 00 Irkoutsk a depuis toujours été MSK+5.Bonjour à tous, je suis le rédacteur en chef de SIND Canada. J’écris des articles depuis plus de 10 ans et j’adore partager mes connaissances. Je suis rédacteur pour de nombreux sites Web et journaux. Toutes mes idées proviennent de mon style de vie très actif. Je me tiens toujours très informer pour vous donner les meilleure information. Au cours de toutes mes années en tant qu’informaticien, je suis devenu un chercheur incroyable. Vous pouvez me contacter par courriel info Russie soviétique 1917-1991… La moitié de la Biélorussie et les deux tiers de l’Ukraine seront brièvement récupérés après la défaite allemande, puis de nouveau perdus face aux Alliés et aux Blancs pendant la guerre des civils, pour ne rejoindre définitivement la Russie soviétique qu’en 1922 . Quelle est la capitale de la Biélorussie ?Comment s’appelait Moscou avant ?Comment s’appelait l’empereur de toutes les Russies ?Qui est le fondateur de l’URSS ?Quelle est l’ancienne capitale de la Russie ?Qui a découvert la Russie ?Qui dirige l’URSS pendant la guerre froide ?Quelle est la taille de la Russie ?Pourquoi l’URSS éclate en 1991 ?Pourquoi Moscou capitale ?Qui dirige l’URSS en 1917 ?Pourquoi la disparition de l’URSS est un événement majeur ? Quelle est la capitale de la Biélorussie ? Il faut compter 6 heures pour rejoindre Minsk, la capitale biélorusse, depuis Paris, avec une escale à Prague ou Moscou. Voir l'article Quel sont les pays qui font partie de l’Union européenne ? Comment s’appelait la Biélorussie avant ? La principauté de Polotsk, qui a émergé au IXe siècle, s’est rapidement imposée comme le premier État de la région. Elle s’étend d’abord autour de la ville de Pollotsk, dans le nord du pays, puis prend progressivement, lorsqu’elle se soumet aux autres principautés, la forme approximative de Biélorussie. Où se trouve la Biélorussie ? La Biélorussie est située au nord de l’Europe centrale. Privé d’accès à la mer, le territoire de la Biélorussie se caractérise par de grandes plaines basses, constituées notamment de zones de macération et couvertes de vastes forêts. Quelle est la capitale de Minsk ? Minsk Biélorussie œÑ – ½Ñ º ; russe œ¸½Ñ º est la capitale de la Biélorussie. Sa population était de 1 992 685 en 2019, ce qui en fait la plus grande ville du pays. Sur le même sujet Quel nom porte maintenant l’Empire Russe ? Quelles sont les traditions Russes ? Quelle partie de la Russie est européenne ? Quel pays était dans l’URSS ? Qui sont les vrais Turcs ? Comment s’appelait Moscou avant ? Moscou est mentionnée pour la première fois en 1147, sous le nom de Moscou, dans la chronique d’Ipatiev, l’un des plus anciens témoignages écrits de cette époque. A voir aussi Quels sont les pays qui font partie de la CEE ? Qui est le fondateur de Moscou ? Youri Dolgorouki, l’illustre fondateur de Moscou s’est probablement établi au Xe siècle. aujourd’hui sous terre. Quel est l’ancien nom de la Russie ? Quelles villes ont été les capitales de la Russie tout au long de son histoire ? La capitale de la Russie est actuellement Moscou. Cependant, cela n’a pas toujours été le cas et, au cours de l’histoire, plusieurs villes ont également eu ce statut…. Première capitale 859 à 882 Novgorod. 882 à 1169 Kiev. 1169 à 1327 Vladimir. 1327 à 1547 Moscou. Comment s’appelait l’empereur de toutes les Russies ? Le terme tsar » désignait le souverain russe à partir du 16 janvier 1547, date à laquelle Ivan IV le Terrible, ancien grand prince de Moscou, fut consacré tsar de toute la Russie » dans la cathédrale de la Dormition à Moscou. Lire aussi Comment est vue l’URSS ? Ce nouveau titre lui confère un statut proche de celui d’empereur. Qui fut le premier tsar de Russie ? L’histoire qui était Ivan le Terrible ? L’image du premier tsar, qui a gouverné la Russie dans la seconde moitié du XVIe siècle, a traversé les siècles comme celle d’un souverain assoiffé de sang. Quel est le nom de l’empire russe aujourd’hui ? L’Empire russe n’est pas un État-nation mais une entité multiethnique qui intègre une diversité de peuples dans ses origines. L’Empire russe est une autocratie dirigée par un empereur, souvent appelé Gosudar chef », ou un tsar à la campagne. Mais sa dénomination officielle est imperator. Où est enterré le tsar Nicolas 2 ? Le 16 juillet 1998, Nicolas II est inhumé en la cathédrale Pierre et Paul de Saint-Pétersbourg avec des membres de sa famille sauf Alexis et un de ses frères en présence des descendants de la famille Romanov, notamment du prince Nicolas . Romanov, chef de la maison impériale de Russie. Qui est le fondateur de l’URSS ? Le 30 décembre 1922, le premier congrès des soviets proclame la création de l’URSS Lénine l’emporte formellement, mais Staline l’emporte politiquement. A voir aussi Quelles sont les régions de l’Asie ? Le 2e Congrès adoptera la Constitution de l’URSS le 31 janvier 1924. Quels sont les pays de l’URSS ? Ce groupe a existé de 1922 à 1991. Fondée dans les années qui ont suivi la révolution bolchevique octobre 1917, l’URSS était composée de la Russie, de l’Ukraine, puis de la Biélorussie et de la Moldavie. Sont également inclus les États de Transcaucasie Azerbaïdjan, Arménie et Géorgie. Quand l’URSS est-elle devenue la Russie ? De ces quinze républiques, la Russie est la plus grande. Cet État a existé de 1922 jusqu’à sa dissolution en 1991, après la sécession des quinze républiques qui le constituaient en quinze États indépendants. … C’est avec la Révolution russe de 1917 et la guerre civile russe que l’URSS a été créée. Quelle est l’ancienne capitale de la Russie ? Qui sont les personnes les plus importantes parmi ceux qui ont fondé la Russie ? -VS. , dans les steppes du sud de la Russie et de l’Asie centrale, la civilisation kurgane se développe. Lire aussi Quel papier pour aller à Moscou ? Environ 2000 ans avant notre ère, les Iraniens du nord, les Indo-européens appelés Peuples des steppes ou Cimmériens, occupent un territoire immense entre la Pologne actuelle et la Chine occidentale actuelle. Comment s’appelait la capitale de la Russie en 1992 ? HISTOIRE – Il y a 25 ans, la ville impériale de Zars a repris son nom d’origine, suite à un référendum. La ville de Saint-Pétersbourg a été renommée plusieurs fois au cours de son histoire. Qui a découvert la Russie ? La découverte de la Russie en 1872 premier voyage de Louis Léger à Moscou. Sur le même sujet Quel est le salaire moyen en Turquie ? Qui a fondé la Russie ? Fondé par des Varègues de Scandinavie à travers les différents fleuves des plaines russes et ukrainiennes, il est gouverné par la dynastie Riourikid, et son nom vient du scandinave Rodslagen le gouvernail. Qui a découvert la Sibérie ? L’exploration scientifique de la Sibérie a commencé entre 1733 et 1742 avec les expéditions de Messerschmidt, Gmelin et Louis de l’Isle de la Croyère qui ont été suivies par celles de Müller, Fischer et Georgi. Quelle est l’origine des Russes ? L’origine de la Russie. L’histoire de la Russie commence en 862 avec l’arrivée en Russie du roi viking Rourik, fondateur à Novgorod de la première dynastie russe. … Au VIIe siècle, lors des invasions barbares, des peuples slaves de l’Est s’étaient déjà installés dans la région qui s’étendait entre Novgorod et Kiev. Qui dirige l’URSS pendant la guerre froide ? Joseph Vissarionovitch Djougachvili Staline 3 avril 1922 – 16 octobre 1952 Secrétaire général du Comité central du Parti communiste ou bolchevik de toute l’Union puis Secrétaire général du Parti communiste de l’Union soviétique. Lire aussi Comment fonctionne le gouvernement Russe ? Qui a dirigé les États-Unis pendant la guerre froide ? Le président Truman critique en mars 1947 l’expansion soviétique en Europe occidentale et établit sa politique de retenue qui consiste à contrôler l’avancée soviétique. Cette doctrine s’est accompagnée en juin d’une aide économique européenne à la reconstruction appelée plan Marshall. Qui dirige l’URSS après Staline ? Nikita Khrouchtchev devient secrétaire général du Parti communiste, en remplacement de Staline. Quelle est la taille de la Russie ? Le territoire de la Russie occupe l’Asie du Nord 74,7% de sa superficie et l’Europe de l’Est 25,3% de sa superficie. Cet État-continent est le plus grand pays du monde il s’étend d’ouest en est sur 6 600 km et du nord au sud plus de 3 000 km alors que sa superficie totale est de 17 125 191 km². Voir l'article Qui dirige l’URSS en 1917 ? Pourquoi la Russie et un grand pays ? 2. La Russie est le plus grand pays du monde depuis le XVIe siècle, lorsque les Cosaques russes ont conquis des terres autour des montagnes de l’Oural en Sibérie et en Extrême-Orient. Ces régions représentent 77% de la superficie totale de la Russie. Quelle est la plus grande région de Russie ? Iakoutsk est une ville du centre de la Sibérie c’est un grand port situé sur la rivière Lena et la capitale de la République de Sakha, le plus grand territoire de la Fédération de Russie avec plus de 3 millions de km. Pourquoi l’URSS éclate en 1991 ? La baisse des prix du pétrole a coïncidé avec le ralentissement économique qui, selon Aven, a commencé dans les années 1960. Lire aussi Pourquoi j’aime la Russie ? Cette tendance de long terme, exacerbée par la baisse des revenus pétroliers, a conduit à l’effondrement du modèle économique. Soviétique. Quelles républiques socialistes soviétiques sont devenues indépendantes en 1991 ? Peu de temps après, l’Ukraine, la Biélorussie, l’Arménie, l’Azerbaïdjan, la Moldavie et la Géorgie se sont tour à tour proclamées indépendantes. En Asie centrale, le Kazakhstan, l’Ouzbékistan, le Turkménistan, le Tadjikistan et le Kirghizistan font de même. Tous ces nouveaux États sont d’anciennes républiques soviétiques. Pourquoi mettre fin à l’URSS ? Depuis son arrivée au pouvoir en 1985, Mikhaïl Gorbatchev tente de démocratiser le régime. Mais le ralentissement des réformes et l’incapacité des Soviétiques à gérer cette crise précipiteront la chute de l’URSS. Pourquoi Moscou capitale ? Ses habitants sont les Moscovites. Lire aussi Comment obtenir voucher pour visa russe ? … La Révolution d’Octobre en 1917 redonne à Moscou le rôle de capitale et instaure un régime communiste qui accélère l’industrialisation de la ville en vingt ans et quadruple la population de un à quatre millions d’habitants. Quelle est la capitale de l’URSS ? Ancien État d’Europe et d’Asie 1922-1991; 22 400 000 km2 ; capitale Moscou. Qui a fondé Moscou ? Youri Dolgorouki, l’illustre fondateur Le premier à s’être intéressé à Moscou est Youri Dolgorouki au bras long », fils de Vladimir Monomaque. En 1156, il commença à ériger de nouvelles fortifications. Le Kremlin repensé comprend l’ancienne ville fortifiée ainsi que la ville marchande. Qui dirige l’URSS en 1917 ? Mais, enfin, c’est sans doute en 1917, lorsque la Révolution d’Octobre a fait surgir des siècles de tsarisme et qu’avec Lénine puis Staline apparaît un pouvoir politico-économique plus absolu et belliqueux. Voir l'article Quels sont les pays qui ne font pas partie de l’Union européenne ? En quarante ans – Spoutnik 1 a été lancé en 1957 – la Russie est passée de charrue à fusée spatiale. Qui a dirigé l’URSS en 1920 ? Entre 1922 et aujourd’hui, l’URSS puis la Russie ont reconnu 10 hommes forts Lénine, Staline, Khrouchtchev, Brejnev, Andropov, Tchernenko, Gorbatchev, Eltsine, Poutine, Medvedev et Poutine qui sont revenus en tournée. Qui a dirigé l’URSS en 1927 ? Entre 1927 et 1929 Joseph Staline, secrétaire général ou Guensek du Parti communiste pansoviétique des bolcheviks depuis 1922, finit par devenir le maître absolu du pays. Cela marque le début d’une transformation brutale et radicale de la société soviétique. Qui a dirigé l’URSS en 1925 ? Vladimir Ilitch Lénine octobre 1917 – 21 janvier 1924 mort naturelle Lev Kamenev octobre 1917 – décembre 1925 exécuté en 1936 Nikolai Krestinsky octobre 1917 – 22 mars 1921 exécuté en 1938 Pourquoi la disparition de l’URSS est un événement majeur ? Chute de l’URSS dissolution devenue inexorable de Mikhaïl Gorbatchev au profit de la liberté d’expression, mais aussi de l’ouverture économique et de la restructuration de la société, avec la Perestroïka. Lire aussi Comment faire pour faire venir un Etranger en France ? Cette politique a pour effet d’élever les peuples des républiques soviétiques. Quelles sont les conséquences de l’effondrement du bloc soviétique ? L’effondrement du communisme soviétique entraîne la dislocation de l’Union soviétique confrontée à une crise idéologique, politique et économique. Cause et conséquence de la fin du communisme, la dislocation de l’empire est précipitée. Comment expliquez-vous la disparition de l’URSS en 1991 ? Dans son testament, Gorbatchev rencontre une triple opposition la poussée nationaliste dans les républiques périphériques de l’URSS doit être indépendante ; la poussée nationaliste en Russie voudrait voir cette République se débrouiller toute seule ; Les conservateurs ne veulent pas changer le système. L'Ukraine est en train de perdre la guerre du Donbass. Et les Etats-Unis ont perdu la bataille géopolitique puisque la plus grande partie du monde ne soutient pas les sanctions contre la Russie. La guerre d'Ukraine entre donc à nouveau dans une phase dangereuse. L'Ukraine a ciblé des plateformes de forage russes en Mer Noire. La Lituanie entrave les échanges avec Kaliningrad. Les Etats-Unis dénoncent l'hostilité à leur égard de la Russie en Syrie. Et ils continuent à faire pression sur le Kazakhstan, malgré le coup d'Etat manqué du début de l'année, dans l'espoir de créer un nouvel abcès de fixation pour la Russie. A vrai dire, l'intérêt des Américains serait à présent de conseiller à l'Ukraine d'arrêter rapidement la guerre pour que l'armée russe ne puisse pas conquérir Odessa. Mais l'actuelle classe dirigeante américaine ne semble plus capable d'agir selon ses intérêts. Elle continue à espérer, contre tout bon sens, qu'il soit possible d'attirer la Russie dans une guerre d'attrition. A vrai dire, ce sont les Etats-Unis qui bientôt devront choisir s'ils s'obstinent à se battre par procuration en Ukraine alors que le Moyen-Orient leur échappe et les tensions avec la Chine se multiplient. L’Inde ne pourrait pas rompre avec Moscou sans mettre en danger son appareil de défenseUtile rappel quand on se demande pourquoi l’Inde n’a pas rejoint le groupe des pays sanctionnant la Russie Le fait que la [Russie] soit souvent accusée de fournir à l’Inde le savoir-faire nécessaire à la production d’armes nucléaires montre à quel point l’Inde est un partenaire stratégique de premier plan pour la Russie. Même si ce n’est pas vrai et s’il est très improbable que la Russie et l’Inde parlent ouvertement d’un sujet aussi sensible, il existe néanmoins des dizaines d’autres exemples de transferts de technologies militaires soviétiques et russes d’une importance capitale, sans lesquels il est pratiquement impossible d’imaginer l’Inde comme une grande puissance de notre départ, au lendemain de sa déclaration d’indépendance, l’Inde était tributaire de l’Occident politique, presque uniquement du Royaume-Uni, pour l’acquisition d’armes. Le pays n’a jamais été correctement industrialisé pendant le règne colonial britannique, ce qui a entraîné une dépendance plutôt dangereuse à l’égard de l’importation d’armes en provenance de l’Occident de plus en plus pro-pakistanais. Heureusement, cette dépendance s’est atténuée grâce à la Russie, car l’Inde a commencé à importer la plupart de ses armes de l’Union soviétique de l’époque à la fin des années 1960. La Russie est alors devenue le principal partenaire du géant asiatique en matière de défense, un état de fait qui prévaut encore aujourd’hui. En termes de systèmes d’armes de base et sophistiqués, la Russie a fourni certaines des plateformes d’armes les plus sensibles et les plus importantes dont l’Inde a eu besoin de temps à autre, notamment des fusils d’assaut avancés, des chars, des roquettes, des avions de chasse, des missiles avancés et même des sous-marins nucléaires et des flotte blindée et mécanisée de l’Inde est presque entièrement de fabrication russe, à l’exception de deux régiments de chars indigènes Arjun. Les nombreuses variantes des chars T-72/T-90 et les modifications des véhicules BMP APC/IFV sont toutes de fabrication ou de conception russe. Il en va de même pour les principaux systèmes de roquettes de l’Inde, le BM-30 “Smerch” et le BM-21 “Grad”. Sans parler des armes légères, où la Russie domine depuis des décennies. Alors que le fusil INSAS indien, bien intentionné mais malheureusement en difficulté, est progressivement abandonné, l’Inde et la Russie ont également signé un accord pour la fabrication conjointe en Inde de fusils AK-203 version hautement modernisée de l’indémodable AK-47 russe.Outre le fait que presque tous ses missiles navals sont d’origine russe, la marine indienne exploite également de nombreux navires de fabrication russe, en particulier des corvettes et des destroyers à missiles. Les destroyers de classe Rajput sont des destroyers modifiés de classe Kashin fabriqués à l’époque soviétique, tandis que le chantier naval russe Yantar a lancé les frégates avancées de classe Talwar en 2021. L’Inde continue d’exploiter huit sous-marins avancés de classe Kilo achetés à la Russie, qui constituent l’essentiel de la flotte de sous-marins conventionnels de l’Inde. Par ailleurs, les seuls chasseurs de la marine indienne sont 45 MiG-29K, qui sont exploités à partir de son unique porte-avions, INS Vikramaditya, également d’origine russe. L’Inde exploite également les hélicoptères russes Kamov de lutte anti-sous-marine. Depuis des années, le géant asiatique loue la série Chakra de sous-marins d’attaque à propulsion nucléaire russes SSN pour former les équipages de sa propre flotte de sous-marins lanceurs d’engins SSBN.Si l’Indian Air Force IAF a acquis un certain nombre de systèmes français et israéliens, la majorité de ses équipements, y compris les chasseurs et les missiles, sont toujours d’origine russe. Cela inclut les avions de combat Sukhoi Su-30 MKI, les plus lourds de l’IAF, qui constituent près de la moitié de ses escadrons 14 sur 30. Il y a aussi les chasseurs MiG-29UPG et MiG-21, les avions de transport lourd IL-76 et les avions-citernes IL-78. L’Inde a également converti deux IL-76 en plateformes AWACS Airborne Warning And Control Systems.Naturellement, un tel pourcentage de jets russes signifie également que l’IAF utilise de nombreux missiles russes, notamment les missiles air-air R-77, R-37 et R-73, les missiles air-surface Kh-59, Kh-35 et Kh-31, ainsi que la série de bombes à guidage laser KAB. L’IAF exploite également des hélicoptères multirôles Mi-17, Mi-35 d’attaque et Mi-26 de transport lourd de fabrication russe. L’IAF utilise également le désormais légendaire S-400, dont les livraisons ont commencé en décembre de l’année dernière, en plus de nombreux autres systèmes de défense aérienne d’origine diverses estimations, les systèmes d’origine russe représentent environ 85 % de l’imposante armée indienne. Bien que l’Inde ait commencé à diversifier ses achats d’armes, la Russie reste au premier plan. Cette coopération porte également sur les technologies hypersoniques. Ainsi, BrahMos Aerospace, une coentreprise indo-russe de production de missiles, a commencé les essais intensifs du très attendu missile hypersonique BrahMos Mach 6, le missile devrait être au moins deux fois plus rapide que le précédent missile de croisière supersonique BrahMos. Même si le missile est officiellement prévu pour avoir une portée de 600 km, les experts suggèrent que le BrahMos II atteindra Mach 8 et une portée de 1000 km. Principalement basé sur le missile hypersonique russe Zircon, le premier missile à statoréacteur statoréacteur à combustion supersonique réussi au monde, le BrahMos II devrait donner à l’Inde une capacité inégalée, non seulement dans le Sud, mais aussi par rapport à l’Occident politique, où d’éminents généraux américains admettent désormais que la Russie est loin devant en matière de technologie manière générale, je recommande le site infobrics où a été publié cet article La Chine et la Russie renforcent leurs liens au moment où l'OTAN a invité le Japon et la Corée du Sud au sommet de l'Alliance Atlantique fin juin 2022 Voici le premier tiers du discours du président chinois, qui est intervenu par vidéo au sommet économique de Saint Pétersbourg “Je suis ravi d’avoir l’occasion de m’adresser à la session plénière du 25e Forum économique international de Saint-Pétersbourg, auquel j’ai assisté en personne il y a trois février de cette année, le président Poutine s’est rendu en Chine et a assisté à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver à Pékin. Nous avons eu un échange de vues approfondi, à la suite duquel nous avons conclu un accord essentiel sur l’élargissement de notre coopération pratique globale et la mise en œuvre du concept de gouvernance mondiale fondé sur des consultations, une participation et une utilisation coopération entre la Chine et la Russie progresse actuellement dans tous les domaines. Nos échanges bilatéraux ont atteint 65,8 milliards de dollars au cours des cinq premiers mois de cette année. Nous pouvons nous attendre à atteindre de nouveaux records d’ici la fin de l’année. C’est la preuve de la grande résilience et du potentiel ingénieux de la coopération monde entre dans une nouvelle période de turbulence et de transformation dans le contexte des changements radicaux en cours et de la pandémie de coronavirus. On observe une tendance évidente à l’antimondialisme, une fracture croissante entre le Sud et le Nord et un affaiblissement des moteurs de coopération dans le domaine du développement, ce qui pourrait plonger l’économie mondiale, qui renaît de manière erratique, dans une profonde récession et créer des défis sans précédent pour la mise en œuvre du programme“. Pas un mot sur la guerre d’Ukraine! Ni dans la suite du discours. Xi Jinping s’était entretenu deux jours plus tôt avec Vladimir Poutine le 15 juin. C’était leur premier entretien depuis le 25 février. On appréciera la différence de comportement entre Xi Jinping et Emmanuel Macron. Bhadrakumar propose une analyse complète de la conversation entre les deux hommes, fondée, entre autres choses, sur le croisement entre le compte-rendu chinois et le compte-rendu russe de l’entretien c’est nous qui soulignons certains passages “Le modèle le plus animé de la “guerre de l’information” menée ces derniers temps par l’Occident contre la Russie est peut-être sa projection déformée de la relation Chine-Russie dans le contexte de la crise ukrainienne. Cette entreprise douteuse a des implications pratiques pour la “fin de partie” en Ukraine, les efforts de l’Occident pour “effacer” la Russie et la lutte des États-Unis avec la Chine – et surtout, elle est lourde de conséquences pour l’ordre mondial Kissinger, qui est à l’origine de l’hypothèse du triangle États-Unis-Russie-Chine dans l’histoire de la guerre froide, a récemment lancé l’idée d’invoquer le spectre d’une “alliance permanente” entre la Russie et la Chine pour infliger une thérapie de choc au public occidental qui cherche à isoler la Russie de l’Europe. Kissinger a conseillé à Kiev de faire des concessions territoriales à Moscou. La pertinence de l’hypothèse de Kissinger est discutable aujourd’hui et, peut-être, faut-il trouver une raison bien plus importante pour expliquer le caractère d’époque de la relation Chine-Russie, qui est à un niveau historiquement est clair que ni la Chine ni la Russie ne cherchent à s’allier et que leur relation n’est certainement pas de la nature d’une alliance classique mais, paradoxalement, elle va aussi bien au-delà de la portée définissable d’une alliance. C’est ce qui ressort clairement du document publié lors de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin en février, intitulé “Déclaration conjointe de la Fédération de Russie et de la République populaire de Chine sur les relations internationales à l’aube d’une nouvelle ère et le développement durable mondial”.Dans un tel contexte, la conversation entre Poutine et le président chinois Xi Jinping le 15 juin devrait disperser de manière concluante la guerre de l’information menée par l’Occident. Xi Jinping a choisi son anniversaire pour passer cet appel, témoignant ainsi de l’amitié profonde qui lie les deux dirigeants depuis plus d’une décennie et qui offre non seulement une base solide à la relation, mais aussi une grande stabilité, compte tenu de la nature des deux systèmes politiques et de l'”alchimie” de leur art politique. La centralité de ce facteur singulier est soit délibérément obscurcie, soit mal comprise dans les discours de l’ les comptes rendus de la conversation téléphonique du 15 juin ici et ici, les points saillants suivants sont à noter Au niveau le plus évident, les deux dirigeants ont souligné sans aucun doute que le partenariat stratégique Chine-Russie, caractérisé par un haut degré de confiance, n’est pas ébranlé par les événements actuels ou par les turbulences et l’incertitude de la situation internationale. La Chine et la Russie restent déterminées à se soutenir mutuellement sur les questions concernant les intérêts fondamentaux de l’autre partie et les questions d’intérêt primordial, telles que la souveraineté et la sécurité. Le communiqué de presse chinois a souligné le soutien de M. Poutine à la Chine sur Taïwan, Hong Kong et le Xinjiang. Les efforts déployés par l’Occident pour mettre de la distance dans le partenariat Chine-Russie restent vains. En dépit des sanctions occidentales contre la Russie, la coopération commerciale et économique entre la Chine et la Russie a le vent en poupe et est prête à progresser régulièrement. La Chine est disposée à favoriser le développement régulier et à long terme de la coopération bilatérale pratique, malgré les sanctions occidentales contre la Russie. En ce qui concerne la “question de l’Ukraine”, la Chine évalue la situation à la fois dans son contexte historique et en fonction des mérites de la question et cherche un règlement approprié de manière responsable. Dans un changement rhétorique significatif, il n’y a eu aucune référence aux questions de souveraineté et d’intégrité territoriale ou à la “guerre” ou au cessez-le-feu, etc. De manière générale, plus de 100 jours après le début de la guerre en Ukraine, Xi s’est concentré sur son soutien à la Russie. Le grand message est que les événements en Ukraine n’ont pas entamé l’engagement fondamental de Xi envers le partenariat sino-russe. En fin de compte, la Chine réaffirme sa vision de la Russie telle qu’elle est exposée dans la déclaration conjointe du 4 février. Il convient de noter que lappel de Xi a été lancé peu de temps avant un sommet européen destiné à faire preuve de solidarité avec l’Ukraine et, également, alors que le compte à rebours commence pour un sommet de l’OTAN à la fin de ce mois, qui devrait approuver un nouveau “concept stratégique” qui renforcera la vigilance à l’égard de la Russie et mentionnera également pour la première fois les défis potentiels de l’alliance provenant de la Chine. Les dirigeants du Japon et de la Corée du Sud participeront pour la première fois au sommet de l’ message clé est que la Chine et la Russie n’ont pas d’autre choix que de résister ensemble à la tentative de l’OTAN de les affaiblir radicalement, et ceci par une coordination stratégique étroite, et de maintenir l’équilibre de la situation stratégique mondiale. En effet, la patrouille aérienne conjointe de 13 heures effectuée fin mai par une force opérationnelle de bombardiers stratégiques russes et chinois au-dessus de la mer du Japon et de la mer de Chine orientale, en plein conflit ukrainien, est fait que Tokyo ait, du jour au lendemain, insufflé de la vie au différend sur l'”occupation” russe des îles Kouriles, au moment même où Moscou est impliqué dans un conflit sur le front occidental, mettrait la Russie et la Chine sur la même longueur d’onde en ce qui concerne la montée en puissance du militarisme japonais, avec le soutien et les encouragements des États-Unis, en tant que nouveau facteur en l’ensemble, l’appel de Xi Jinping et l’expression et la démonstration véhémentes du soutien et de la compréhension de la Chine arrivent à un moment où Poutine en a le plus besoin. Le compte-rendu du Kremlin indique explicitement “Il a été convenu d’élargir la coopération dans les domaines de l’énergie, de la finance, de l’industrie manufacturière, des transports et d’autres domaines, en tenant compte de la situation économique mondiale qui s’est compliquée en raison de la politique illégitime de sanctions menée par l’Occident. La poursuite du développement des liens militaires et de défense a également été évoquée.”Pour emprunter les mots peu diplomatiques de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, Xi a peut-être infligé “un dommage majeur à la réputation de la Chine” en Occident. De toute évidence, Xi n’a pas tenu compte des avertissements répétés des responsables américains selon lesquels les “sanctions de l’enfer” destinées à affaiblir la Russie toucheraient également la Chine si Pékin apportait son soutien à Moscou. Curieusement, Xi a relancé le partenariat Chine-Russie alors que les responsables de l’administration Biden répandent ces derniers temps l’idée d’un “dégel” dans les relations entre les États-Unis et la la suite de la rencontre de lundi {13 juin] entre Yang Jiechi, membre du Politburo du PCC, et Jake Sullivan, conseiller de Biden pour la sécurité nationale, à Luxembourg, la Maison Blanche a qualifié la discussion de “franche, substantielle et productive”, tandis que le communiqué de presse chinois était sensiblement circonspect ” Les États-Unis doivent placer la Chine dans la bonne perspective stratégique, faire le bon choix et traduire les remarques du président Biden en actions concrètes les États-Unis ne cherchent pas à mener une nouvelle guerre froide avec la Chine ; ils ne visent pas à changer le système chinois ; la revitalisation de leurs alliances ne vise pas la Chine ; les États-Unis ne soutiennent pas ” l’indépendance de Taïwan ” ; et ils n’ont pas l’intention de chercher un conflit avec la Chine. Les États-Unis doivent travailler avec la Chine dans la même direction pour mettre en œuvre sérieusement l’important consensus atteint par les deux chefs d’État.”M. Yang a averti que “la question de Taïwan concerne le fondement politique des relations entre la Chine et les États-Unis, et si elle n’est pas traitée correctement, elle aura un impact subversif. Non seulement ce risque existe, mais il va continuer à augmenter.” Le compte rendu chinois a décrit la discussion comme “une communication et des échanges francs, approfondis et constructifs.”L’appel de Xi à Poutine a eu lieu deux jours plus tard“. Le célèbre journaliste Tucker Carlson ridiculise le "c'est la faute à la Russie" permanent de Joe Biden Alors que les Etats-Unis se débattent avec le chaos diplomatique qu’ils ont créé, Tucker Carlson, le très respecté éditorialiste de Fox News, a donné le signal de la charge contre un président qui ne cesse de jouer l’air de “C’est la faute à Poutine”. Extraits de la transcription de son émission du 16 juin dernier. Un régal d’ironie ” … Eh bien, vous pourriez commencer à penser que Joe Biden a quelque chose à voir avec la hausse des prix de l’essence, car lorsque vous limitez l’offre de quelque chose, lorsque vous en avez moins, cela coûte plus cher, comme le pétrole, par exemple. Il s’agit d’un principe connu des économistes professionnels d’élite sous le nom d’offre et de demande. Moins de forage donne une essence plus pourriez conclure cela, mais vous auriez tort. En fait, si vous croyez cela, vous êtes un idiot, vous pensez probablement encore qu’Hillary Clinton a perdu l’élection présidentielle de 2016. Vous êtes naïf, vous êtes crédule. Vous êtes une personne stupide. La vérité est bien plus évidente. Les prix de l’essence sont élevés en ce moment parce que Vladimir Poutine les a rendus élevés. Comment Poutine a-t-il fait ça ?C’est simple. Depuis son repaire dans une chambre de torture au fond de la prison de Loubianka à Moscou, entouré de bouteilles de vodka vides et des têtes coupées de ses ennemis, Poutine a signé un décret augmentant le prix de l’essence sans plomb et du diesel aux États-Unis. Et aussi, pendant qu’il y était, le prix du chou-fleur, … des pièces de plomberie et des tacos de poisson ainsi qu’un tas d’autres choses que vous achetez, en fait, de tout ce que vous achetez. Vladimir Poutine a causé à lui seul l’inflation, les prix élevés de l’essence. Il l’a fait exprès, tout comme il a fait élire son complice orange à la présidence des États-Unis, il y a cinq ans. C’est Poutine qui a fait l’a-t-il fait ? Comme si vous aviez besoin de le demander. Poutine a fait ça parce qu’il déteste nos libertés. C’est pourquoi les libertés que Joe Biden nous a données, Poutine veut nous les enlever, comme Joe Biden lui-même l’a écrit dans une lettre aujourd’hui, en réprimandant les compagnies pétrolières pour ne pas avoir vendu plus de pétrole. “Nous vivons avec les défis économiques que les actions de Vladimir Poutine ont créés pour les familles américaines”, a-t-il déclaré. C’est encore ce satané Biden a un plan pour lutter contre la pénurie de gaz en fût des Slaves. Il va imposer une nouvelle taxe sur l’énergie. Les prix de l’essence baisseront parce que lorsque vous faites en sorte qu’une chose coûte plus cher, elle est en fait moins chère à acheter. Est-ce que c’est clair ?Oh, Jimmy Carter, un autre grand leader démocrate défait par les Russes dans son cas, Leonid Brejnev. En 1980. Il s’avère que Jimmy Carter a fait à peu près ce que Joe Biden veut faire. Il a imposé une taxe de 70% sur la valeur des ventes de pétrole dépassant 12,80$. Et que s’est-il passé ensuite ?Eh bien, nous le savons, parce que … le Service de la Recherche du Congrès des Etats-Unis a découvert que cette taxe a eu pour effet de paralyser la production pétrolière nationale …. Notre dépendance au pétrole étranger, quant à elle, a augmenté de 13%. Cela n’a pas vraiment de sens si l’objectif de la taxe était uniquement d’empêcher les “prix abusifs”. Comment cela s’est-il produit ?Eh bien, en 2018, un article publié dans la revue Economic Policy a répondu à cette question. Le Journal a constaté que l’augmentation des taxes sur le pétrole a pour effet de décourager les producteurs de pétrole de prendre des risques sur la production de pétrole. … Et ne pensez pas à l’énergie nucléaire pour augmenter la production nationale d’énergie. C’est ce que Poutine veut que vous fassiez. Donc pour garder notre démocratie en sécurité, on ne peut rien faire qui aide Poutine. Nous devrions vous le dire. Je sais que les officiels de la Maison Blanche sont d’accord avec cela, aussi logique que cela puisse paraître, selon Bloomberg, “les officiels de Biden ont exprimé en privé leur inquiétude sur le fait que plutôt que de dissuader le Kremlin comme prévu, les sanctions ont au contraire exacerbé l’inflation, aggravé l’insécurité alimentaire, et poussé les Russes ordinaires, punis plus que Poutine ou ses alliés.” Maintenant, vous pourriez être tenté d’être d’accord avec ces fonctionnaires de Biden. Si vous regardez le graphique qui montre que la valeur du rouble, comme nous vous l’avons dit, mesurée par rapport au dollar, monte en flèche. Donc nous avons aidé Poutine avec les sanctions. Biden a promis que nous allions, je cite, “réduire le rouble en miettes” ruble to rubble en anglais. Coupant la Russie du reste du monde. C’est peut-être pour ça que la nourriture est si camions remplis de nourriture sont refoulés à la frontière américano-canadienne pour que la viande n’arrive pas aux usines de transformation. Pourquoi cela se produit-il ? Eh bien, c’est à cause des mandats de vaccination COVID, qui sont toujours appliqués par l’administration Biden. Et ils exigent que les conducteurs non vaccinés soient mis en quarantaine pendant 14 jours parce que c’est très dangereux. Et beaucoup de conducteurs ne peuvent pas faire ça. Et d’ailleurs, s’ils le faisaient, le contenu de leurs camions se pourriez donc penser que cela a quelque chose à voir avec les problèmes de la chaîne d’approvisionnement qui vous empêchent de remplir votre panier d’épicerie. Nous n’allons pas entendre cela dans les médias. Et vous savez pourquoi ? Parce que, comme Big Meat, comme Big Oil, comme Vladimir Poutine lui-même, selon Joe Biden, les médias ne lui donnent pas un traitement n’est de la faute de Joe Biden – ni le prix de l’essence, ni le prix des médias, ni le prix de la viande, ni la couverture de l’inflation par les médias. Rien de tout cela. Vous savez de qui c’est la faute ? C’est la faute de Vladimir Poutine. Selon Sandy Cortez, en fait, vous pouvez aussi blâmer les suprémacistes blancs, et c’est peut-être exactement la même chose que seule chose que nous pouvons dire avec certitude à ce stade, c’est que les personnes qui ont tout fait foirer ne sont en aucun cas responsables de ce qu’elles ont fait légalement ou moralement. En fait, ils sont irréprochables. Nous pouvons donc vous dire cela avec confiance, car la seule chose dont nous sommes sûrs, c’est que Vladimir Poutine l’a traître. Il l’a fait.” L'ambassadeur de Russie aux Etats-Unis tend la main aux Etats-Unis pour entamer des négociations sur l'ensemble des sujets stratégiques, y compris l'Ukraine + L’ambassadeur russe aux Etats-Unis a donné un entretien à Newsweek “L’ambassadeur de Moscou à Washington, Anatoly Antonov, a déclaré à Newsweek que “la situation en Ukraine est extrêmement tendue”, près de quatre mois après que le président russe Vladimir Poutine a déclenché une guerre contre le pays voisin à la suite de l’échec des négociations sur la sécurité entre le Kremlin et l’ a averti M. Antonov, “de plus en plus de pays sont impliqués dans le cycle des événements en Europe de l’Est” et “les conséquences négatives de la crise de la sécurité européenne, sous diverses formes, se propagent rapidement dans le monde entier.”Il a averti que la situation pourrait se transformer en un conflit impliquant les nations qui possèdent la grande majorité des armes nucléaires du monde.“La myopie des États-Unis est également visible dans les circonstances actuelles”, a déclaré M. Antonov. “Poussées par le désir d’infliger une défaite stratégique à la Russie, les élites locales font monter les enchères dans l’escalade des tensions en abondant le régime de Kiev en armes. N’est-il pas clair que c’est la voie d’une confrontation militaire directe entre les grandes puissances nucléaires, lourde de conséquences imprévisibles ?”Et sur le front économique, il a déclaré que les vulnérabilités de Washington apparaissaient déjà à un moment où l’inflation américaine a grimpé en flèche pour atteindre son plus haut niveau depuis quatre décennies et où le prix moyen national de l’essence a dépassé le chiffre sans précédent de 5 dollars le gallon.“Les plans visant à étrangler notre pays avec des sanctions ne fonctionnent pas non plus”, a déclaré M. Antonov, “L’imposition irréfléchie de restrictions ne fait qu’aggraver la situation de l’économie américaine. Il s’avère donc que dans une fièvre anti-russe, Washington est prêt à se tirer une balle dans la jambe et à danser simultanément. Cela semble absurde”.“En outre, a-t-il ajouté, les actions des Américains n’affecteront pas la détermination des forces armées russes à remplir les tâches fixées lors de l’opération militaire spéciale pour protéger la population du Donbass, ainsi que la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine.”“La nature globale de ce qui se passe montre que les racines du conflit actuel ne sont pas en Ukraine”, a déclaré Antonov. “Il s’agit du déclin de l’ordre mondial américano-centré. Pour être plus précis, l’effondrement des tentatives des États-Unis de maintenir un rôle hégémonique et de s’autoproclamer étoile directrice’ pour tous les pays.”Il a fait valoir que cette approche remonte aux premiers jours de la Fédération de Russie déclarée sur les décombres de l’Union soviétique. Il a accusé “la classe dirigeante américaine” d’avoir “fait une série de graves erreurs de calcul” au lendemain de la guerre froide, qui “se résument à une seule chose ignorer le rôle de notre pays en tant que pilier de l’ordre mondial”.Et si M. Antonov a affirmé que la Russie ne s’est renforcée qu’après les crises qui ont suivi, il a déclaré que “les autorités américaines ont décidé de contester ce fait évident et ont commencé à nous imposer de manière agressive des valeurs “démocratiques”, même si ces idéaux sont souvent étrangers aux Russes”. Dans cette quête, il a déclaré que les dirigeants américains “ont commencé à s’immiscer dans la politique intérieure de la Russie et à poser des menaces pour notre sécurité nationale, en se rapprochant de plus en plus de nos frontières.”Alors que l’Occident s’efforce d’infliger suffisamment de douleur à la Russie pour convaincre Poutine de faire marche arrière sur l’Ukraine, Antonov a déclaré qu'”il est temps de se faire à l’idée de l’impossibilité de construire un ordre mondial dans lequel tous les pays doivent suivre les instructions de Washington, et où les valeurs occidentales sont au-dessus des lois.”Ce nouvel ordre, a-t-il dit, serait fondé sur le “polycentrisme”, avec des rôles croissants pour les pays d’Afrique, d’Amérique latine, du Moyen-Orient et d’autres parties de l’Asie. De nombreux pays de ces régions n’ont pas partagé l’appétit de l’Occident de s’attaquer à la Russie et ont plutôt adopté des positions plus Antonov a également déclaré que le Conseil de sécurité de l’ONU jouerait un rôle central dans ce domaine, ses membres permanents étant de plus en plus divisés entre un camp occidental composé de la France, du Royaume-Uni et des États-Unis et un camp oriental composé de la Chine et de la Russie. Cette division a rendu impossible tout progrès sur les grandes questions internationales telles que l’Ukraine, en raison des pouvoirs de veto ce qui concerne la politique américaine à l’égard de la Russie, M. Antonov a déclaré que Washington “devrait cesser de se faire des illusions sur la “défaite” de notre pays” et doit au contraire “reconnaître qu’il n’y a pas d’alternative à des relations pragmatiques avec la Russie”.“Nous sommes de grandes puissances qui portent une responsabilité particulière pour la paix sur Terre. C’est de nous que dépend la stabilité stratégique”, a-t-il affirmé. “Sans les efforts coordonnés des deux États, il est impossible de résoudre les problèmes du terrorisme, de la prolifération des armes de destruction massive, du changement climatique, de la lutte contre les épidémies et de la sécurité alimentaire. Nous sommes condamnés à coopérer.”Et l’Ukraine, a-t-il ajouté, sera “un test décisif qui montrera la volonté des États occidentaux de prendre en compte les préoccupations russes.” À cet égard, “la poursuite des progrès vers la stabilisation de la sécurité européenne dépendra de l’issue du processus de règlement de la crise en Ukraine”, selon Antonov.“Aujourd’hui, en fait, a déclaré Antonov, la question est de savoir si nous pouvons construire ensemble un ordre mondial multipolaire fondé sur l’égalité et prenant en compte les intérêts de tous les États, indépendamment de leur puissance et de leur potentiel.”Et bien qu’il ait averti que la menace d’une confrontation plus large restait réelle, il a déclaré que ce n’était dans l’intérêt d’aucune partie, en particulier compte tenu des effets de second ordre tentaculaires du conflit actuel“. Les Occidentaux inventent des prétextes pour ne pas négocier - et jouent avec le feu + En Syrie, la Russie a prévenu à l’avance les Etats-Unis du bombardement qu’elle allait effectuer sur la base d’Al-Tahrif contre des rebelles ayant attaqué l’armée syrienne rebelles soutenus par les Etats-Unis. Mais les médias américains ont présenté cette frappe comme une provocation de la Russie. De fait, on peut imaginer que la frappe était un avertissement aux Etats-Unis, mais dans un sens subtil montrer à Washington que partout dans le monde la Russie est capable de frapper ceux à qui les Etats-Unis font faire la guerre; suggérer aux Américains, aussi qu’ils ne pourront pas continuer à se battre – par procuration ou non – à la fois en Europe, au Moyen-Orient et dans le détroit de Taïwan. + De fait, la capacité américaine à maîtriser la situation au Proche et Moyen-Orient est de plus en plus remise en cause. Alors que Mohammed ben Salman se rendait au sommet économique de Saint Pétersbourg, le programme de la visite de Joe Biden en Arabie Saoudite, prévue pour le mois de juillet, n’a toujours pas fait l’objet d’un accord entre les deux Etats. Ce qui n’empêche pas Joe Biden de mettre de l’huile sur le feu en accusant publiquement MBS d’avoir commandité l’assassinat de Jamal Kashoggi. Quant à la négociation sur le développement du nucléaire civil iranien, il piétine. + Le nouveau Chef d’Etat-major des Armées britannique, le Général Patrick Sanders, écrit dans son premier courrier à la troupe qu’il entendait “accélérer la mobilisation et la modernisation de l’armée pour renforcer l’OTAN et priver la Russie de la possibilité d’occuper davantage l’Europe… nous sommes la génération qui doit préparer l’armée à combattre en Europe une fois de plus”. Un moyen de réclamer une augmentation du budget de la Défense tant que le russophobe hystérique nommé quelle ironie! Boris est à Downing Street. + Boris Johnson s’est précipité à Kiev le vendredi 17 juin, au lendemain de la visite de Manu, Olaf et Mario à Zelenski, visite au cours de laquelle ils avaient conseillé au président ukrainien de reprendre les négociations avec la Russie. + On voit très clairement se dessiner deux camps chez les Occidentaux les pétochards Macron, Scholz, Draghi, qui ont eu peur de s’opposer aux Etats-Unis et ont aujourd’hui encore plus peur des conséquences de la politique de sanction; les idéologues comme Johnson ou les dirigeants polonais ou ceux des Pays Baltes, qui poussent à une guerre avec la Russie. + La Lituanie bloque depuis samedi 19 juin le transit des marchandises entre Kaliningrad et le reste de la ferroviaire national de la Lituanie a interdit la circulation des marchandises sanctionnées entre la région et le reste de la Russie, citant les instructions de la Commission a déclaré que cette mesure était illégale au regard du droit international et a convoqué l’ambassadeur lituanien. Mardi, le ministère des affaires étrangères a convoqué l’envoyé de l’UE en Russie, Markus Ederer. “Nous avons exigé que le fonctionnement normal du transit de Kaliningrad soit rétabli immédiatement”, a déclaré le ministère dans un Borrell, le représentant de l’UE pour la politique étrangère, a défendu Vilnius lundi 20 juin, affirmant qu’elle agissait conformément au mécanisme de sanctions de l’Union. “La Lituanie n’est pas coupable, elle n’applique pas de sanctions nationales”, a-t-il déclaré aux journalistes.“Bien sûr, la Russie répondra aux actions hostiles. Des mesures appropriées sont en cours d’élaboration et seront adoptées dans un avenir proche”, a déclaré Nikolaï Patrouchev, président du Conseil National de Sécurité russe aux journalistes lors d’un voyage à Kaliningrad a ajouté que les conséquences de la réponse de Moscou “auront un impact négatif sérieux sur le peuple lituanien.” Le duc de Richelieu 1766-1822, gouverneur de la Nouvelle Russie de 1803 à 1814, a sa statue à Odessa face au port 5 commentaires Merci pour cette excellente et éclairante analyse. La situation est alarmante. Les américains et leurs états vassaux finiront-ils par attendre raison ? Merci M. E. Husson pour cet article rempli d’informations pertinentes mises en perspectives. Je relève cette phrase en particulier, elle mérite un moment de réflexion. “”Josep Borrell, le représentant de l’UE pour la politique étrangère, a défendu Vilnius lundi 20 juin, affirmant qu’elle agissait conformément au mécanisme de sanctions de l’Union. “La Lituanie n’est pas coupable, elle n’applique pas de sanctions nationales”, a-t-il déclaré aux journalistes.”” Donc un fonctionnaire haut gardé de l’UE parle au nom de la Lituanie en la jugeant de haut comme si Vilnius était un enfant mineur irresponsable, elle n’est pas coupable’. La Lituanie, sous-fifre, applique comme un bon petit soldat de l’UE des ordres venus d’en-haut. La nation lituanienne décide d’appliquer des ordres qu’elle est obligée de faire appliquer !!! Et si on remettait la Lituanie sous le joug soviétique au lieu du joug EUrratique si décadent, woke et lgbt déconstruit ? Il serait intéressant de savoir s’il existe en Lituanie des catholiques éveillés, réveillés’ qui sont opposés à cette sujétion déplaisante et mortelle de leur nation à Bruxelles-Borell. Le discours officiel de Biden ici rapporté est absolument délirant. Il est hallucinant de voir la nation la plus développée du monde sombrer comme le Titanic, par orgueil et en niant la réalité. Le Titanic était insubmersible. Il ne possédait que des canots de sauvetage aux normes anciennes. Vive le progressisme woke! En avant sans retour possible! La Lituanie, et l’UE par la même occasion, font une belle boulette légale. Quand un pays A doit passer par un pays B pour aller à un pays C, B peut appliquer les sanctions à ses risques. Par contre, aller de A à A ce que sont la Russie et Kaliningrad en passant par B, est un transit pur défini par des règles de vérification de continuité, sans plus. B ne peut appliquer des sanctions sur un trafic domestique bordé par des accords. Il me semble que la Russie va fortement réagir. Mais bon, comme disait l’autre, la Lituanie, combien de divisions? Et est-ce que l’OTAN ira sur place s’interposer? Laisser un commentaire Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

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