Lavie est bien trop courte pour la perdre. .. Je vous laisse lire et mĂ©diter les paroles tellement justes d'Alexandre Jollien Obtenezle livre Le MĂ©tier d'homme de Alexandre Jollien au format ePub sur E.Leclerc. Lavie est bien trop courte pour la perdre Ă  paraĂźtre, s’effacer, se plier, dĂ©passer, trop forcer. Quand il nous suffit d’ĂȘtre, et de lĂącher tout combat que l’on ne mĂšne bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, ĂȘtre en paix. Et vivre. En faisant ce qu’on aime, auprĂšs de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime, en Ă©tant qui nous sommes, vraiment." Alexandre Lavie est bien trop courte pour la perdre Ă  paraĂźtre, s’effacer, se plier, dĂ©passer, trop forcer. Quand il nous suffit d’ĂȘtre, et de lĂącher tout combat que l’on ne mĂšne bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, ĂȘtre en paix. Et vivre. La vie est bien trop courte pour perdre son temps Ă  se faire une place lĂ  oĂč l’on en a pas, pour dĂ©montrer qu’on a ses chances quand on porte tout en 232 comments on LinkedIn w9VDdQ. J'approuve Ă  1000% ce que dit mon compatriote Alexandre Jollien. C'est pourquoi, j'ai pris plusieurs virages dans ma vie, souvent pas trĂšs agrĂ©able sur le moment toujours la peur du changement, du regard des autres, mais aussi ce sentiment que ma place n'Ă©tait plus lĂ . Pour tous ceux et celles qui sont dans cette transition, prenez ce virage. Il est bon. Regardez la nature, rien ne pousse de maniĂšre rectiligne. Les huiles essentielles peuvent vous soutenir Ă©motionnellement dans ce virage. La vie est bien trop courte pour perdre son temps Ă  se faire une place lĂ  oĂč l’on en a pas, pour dĂ©montrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi, pour s’encombrer de doutes quand la confiance est lĂ , pour prouver un amour Ă  qui n’ouvre pas les bras, pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout Ă  ça, pour s’adapter Ă  ce qui n’épanouit pas. La vie est bien trop courte pour la perdre Ă  paraĂźtre, s’effacer, se plier, dĂ©passer, trop forcer. Quand il nous suffit d’ĂȘtre, et de lĂącher tout combat que l’on ne mĂšne bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, ĂȘtre en paix. Et vivre. En faisant ce qu’on aime, auprĂšs de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime, en Ă©tant qui nous sommes, Vraiment. » De Alexandre Jollien, philosophe et Ă©crivain suisse. 345 Posts Explore topics Jolies pensĂ©es d’Alexandre Jollien Grandir, ce n’est pas s’enrichir de quelque chose de nouveau, c’est dĂ©couvrir ce qu’on a dĂ©jĂ  l’intĂ©rieur. La libertĂ© intĂ©rieure, c’est quand le regard de l’autre ne vous dĂ©termine pas. Ce qui accroĂźt la souffrance, et crĂ©e le manque, c’est la comparaison. Ce qui nous sauve, c’est de savoir que l’on ne peut pas guĂ©rir de ses blessures, mais que l’on peut vivre avec, que l’on peut cohabiter avec elles sans qu’il y ait nĂ©cessairement de l’amertume.+ et lue rĂ©cemment La vie est bien trop courte pour perdre son temps Ă  se faire une place lĂ  oĂč l’on en a pas, pour dĂ©montrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi, pour s’encombrer de doutes quand la confiance est lĂ , pour prouver un amour Ă  qui n’ouvre pas les bras, pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout Ă  ça, pour s’adapter Ă  ce qui n’épanouit pas. La vie est bien trop courte pour la perdre Ă  paraĂźtre, s’effacer, se plier, dĂ©passer, trop il nous suffit d’ĂȘtre, et de lĂącher tout combat que l’on ne mĂšne bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, ĂȘtre en paix. Et vivre. En faisant ce qu’on aime, auprĂšs de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime, en Ă©tant qui nous sommes, vraiment. Cet abandon, ce lĂącher prise me font penser Ă  ce que je souhaite mettre en Ɠuvre dans ma vie pour moi et pour ceux que j’accompagne, dans ma vie privĂ©e et professionnelle coaching, mĂ©diation et magnĂ©tisme.Je cite ici Ă  nouveau cette phrase qui me porte dan mon travail de coaching, de mĂ©diation et d’énergĂ©tisme Être adulte, c’est savoir se donner enfin ce dont on a la sensation d’avoir manquĂ©. Jolies pensĂ©es d’Alexandre Jollien Grandir, ce n’est pas s’enrichir de quelque chose de nouveau, c’est dĂ©couvrir ce qu’on a dĂ©jĂ  l’intĂ©rieur. La libertĂ© intĂ©rieure, c’est quand le regard de l’autre ne vous dĂ©termine pas. Ce qui accroĂźt la souffrance, et crĂ©e le manque, c’est la comparaison. Ce qui nous sauve, c’est de savoir que l’on ne peut pas guĂ©rir de ses blessures, mais que l’on peut vivre avec, que l’on peut cohabiter avec elles sans qu’il y ait nĂ©cessairement de l’amertume.+ et lue rĂ©cemment La vie est bien trop courte pour perdre son temps Ă  se faire une place lĂ  oĂč l’on en a pas, pour dĂ©montrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi, pour s’encombrer de doutes quand la confiance est lĂ , pour prouver un amour Ă  qui n’ouvre pas les bras, pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le gout Ă  ça, pour s’adapter Ă  ce qui n’épanouit pas. La vie est bien trop courte pour la perdre Ă  paraĂźtre, s’effacer, se plier, dĂ©passer, trop il nous suffit d’ĂȘtre, et de lĂącher tout combat que l’on ne mĂšne bien souvent qu’avec soi, pour enfin faire la paix, ĂȘtre en paix. Et vivre. En faisant ce qu’on aime, auprĂšs de qui nous aime, dans un endroit qu’on aime, en Ă©tant qui nous sommes, vraiment. Cet abandon, ce lĂącher prise me font penser Ă  ce que je souhaite mettre en Ɠuvre dans ma vie pour moi et pour ceux que j’accompagne, dans ma vie privĂ©e et professionnelle coaching, mĂ©diation et magnĂ©tisme.Je cite ici Ă  nouveau cette phrase qui me porte dan mon travail de coaching, de mĂ©diation et d’énergĂ©tisme Être adulte, c’est savoir se donner enfin ce dont on a la sensation d’avoir manquĂ©. Navigation de l’article 🟠 Pourquoi vouloir tout faire, ĂȘtre Ă  200 %, serait rassurant ?Vous vous dites je suis capable de finir un dossier en temps et en heure tout en pensant Ă  ne pas oublier la liste de course, prendre un rendez-vous mĂ©dical pour untel, penser au repas du soir, le cadeau Ă  apporter ce week-end, le rappel du vaccin, la visite chez le/la gynĂ©cologue, ĂȘtre belle, s’épiler, faire du sport, ĂȘtre souriante, mĂ©diter
Dans les faits, vous parvenez souvent Ă  tout faire. Vous ĂȘtes une superwoman, une madame parfaite Je le veux, je le fais,Je le fais moi-mĂȘme, c’est plus rapide et comme cela, je suis tranquille car “c’est fait“.Donc je mets consciemment ou inconsciemment la barre trĂšs haute que ce soit au travail, Ă  la maison ou vis-Ă -vis de moi-mĂȘme. Je me mets en mode Pitbull, je ne lĂąche rien, je suis Ă  puis, je ne me donne pas la possibilitĂ© de faire autrement, car je crois que cela ne pourrait pas fonctionner correctement. J’ai besoin de tout maĂźtriser, vĂ©rifier, contrĂŽler, d’encadrer car cela me rassure. Attention, car chercher Ă  tout faire mĂšne au risque d’en faire trop. 🟠 D’oĂč vient cette suractivitĂ© ?Tout d’abord, la femme donne la vie ce qui n’est pas rien quand mĂȘme. Ensuite, la femme est attendue dans nos sociĂ©tĂ©s comme Être multiple et gĂ©nĂ©reux. Elle se doit d’ĂȘtre maternelle, sĂ©ductrice, infirmiĂšre, secrĂ©taire, copine, Ă©pouse, confidente, mĂšre, etc. La proposition d’ĂȘtre soi-mĂȘme est souvent envisagĂ©e comme recevons de l’extĂ©rieur, mais aussi de l’intĂ©rieur une injonction Ă  tout “faire bien” pour le bien de tous famille, communautĂ©, etc..Et vous, comme moi, adhĂ©rons sans prendre conscience de l’ampleur de tout ce que cela implique en devoirs et tout simplement en acceptons-nous cette pression sociĂ©tale si naturellement ? Peut-ĂȘtre parce qu’à travers toutes nos actions, nous espĂ©rons consciemment ou inconsciemment Être visible,Être reconnu par notre entourage, nos proches, nos collĂšgues,Recevoir une sorte de validation de la part de l’autre,Se valoriser et avoir confiance en soi et ses capacitĂ©s,Occuper “notre” place,Faire donnerait du sens Ă  notre dit de nous que nous savons faire plusieurs choses Ă  la fois, alors que notre cerveau ne le peut pas. Le passage d’une action Ă  l’autre est si rapide qu’il donne l’impression d’ĂȘtre simultanĂ©, mais cela n’est pas vrai. Faire tant de choses Ă  la fois semble valorisant et valorisĂ© par l’ensemble de la sociĂ©tĂ©. Est-ce gagnant/gagnant ?🟠 Quelles sont les consĂ©quences de cette suractivitĂ© sur notre vie de femme ?Les signes de dĂ©sĂ©quilibres s’accumulent tant au niveau đŸ˜© Physique Fatigue rĂ©currente,Tensions musculaires, maux de tĂȘtes, maux de ventre, mal de dos,DifficultĂ© Ă  s’endormir, rĂ©veils multiples durant la nuit,Infections plus frĂ©quentes telles rhumes, angines, infections ORL ou urinaires cystites.đŸ˜© Émotionnel AnxiĂ©tĂ©, stress,DĂ©tachement vis-Ă -vis de l’entourage,Mauvaises humeurs,RĂ©actions disproportionnĂ©es Ă  certains actes ou Ă  certaines paroles,Sentiment d’ĂȘtre dĂ©passĂ© par les Ă©vĂ©nements,Troubles du comportement alimentaire, voire toxicomanie alcool, drogues, mĂ©dicaments.đŸ€” Intellectuel Troubles de la concentration, de la mĂ©morisation,DifficultĂ©s Ă  prendre des dĂ©cisions,DifficultĂ©s Ă  s’adapter aux situations petite voix n’est pas loin “je n’y arrive pas” ; “Il faut que” ;”J’en peux plus” ; “les autres ne doivent pas voir que je ne suis pas ou plus Ă  la hauteur”.Un quotidien que l’on n’envisage pas avec sĂ©rĂ©nitĂ© ; des difficultĂ©s Ă  affronter et adapter nos rĂ©ponses face Ă  des problĂšmes, des conflits, des rapports de force, des dĂ©saccords. Et comme si cela ne suffisait pas, nous CULPABILISONS. J’y arrive plus, je suis crevĂ©e, c’est de ma faute, je ne suis pas assez X, pas assez Y, pas assez Z. J’essaie de me convaincre que cela va allez, je vais y arriver, et puis je n’envisage pas d’autre choix et j’ai besoin de garder intacte l’image que je pense l’autre a de final le prix Ă  payer, c’est tout simplement un MAL-ÊTRE physique, mental, Ă©motionnel, spirituel et temps est venu de dire STOP Ă  ce non-sens !🟠 Et si pour changer, je dĂ©cidais d’en faire vraiment moins !D’accord ! 
 Mais non, “Parce que moi, je ne peux pas“. Dans ma rĂ©alitĂ©, si je fais une pause, je risque gros perdre mon appel d’offres, mon job, ĂȘtre rejetĂ©e, je vais m’exposer, je vais devoir m’excuser de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur. Je ne serais plus Madame parfaite, la honte quoi ! Je ne pourrai plus me regarder dans le de redoubler d’efforts pour ĂȘtre Ă  la hauteur de ce que je crois devoir accomplir aux yeux des autres. Comme l’a indiquĂ© ElĂ©anor Roosevelt “Vous ne vous inquiĂ©terez pas autant de savoir ce que les autres pensent de vous si vous rĂ©alisiez Ă  quel point ils pensent rarement Ă  vous”.ArrĂȘtons de culpabiliser pour tout. Prenons un peu de recul sur les consĂ©quences de nos actions ou non-actions. Sont-elles graves, les consĂ©quences sont-elles irrĂ©mĂ©diables ? Est-ce que mes charges de travail m’appartiennent vraiment ou sont-elles du ressort de d’autres personnes supĂ©rieure, collĂšgue, compagnon, compagne, enfant, voisin, etc.. Je me responsabilise en dissociant ce que je fais pour moi, pour les autres ou Ă  la place des surprenant de rĂ©aliser qu’en faisant moins de choses, vous arriverez quasiment au mĂȘme rĂ©sultat avec moins de pression et plus de plaisirs. C’est assez incroyable de se rendre compte que d’en faire plus n’apporte pas forcĂ©ment plus de meilleurs rĂ©sultats. Moins d’exigence, permet davantage de fluiditĂ© dans le choix de nos rĂ©ponses en fonction des facteurs d’Alexandre Jollien, philosophe et Ă©crivain suisse lorsqu’il Ă©crit La vie est bien trop courtePour perdre son temps Ă  se faire une place lĂ  oĂč l’on n’en a pas,Pour dĂ©montrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi,Pour s’encombrer de doutes quand la confiance est lĂ ,Pour prouver un amour Ă  qui n’ouvre pas les bras,Pour performer aux jeux de pouvoir quand on n’a pas le goĂ»t Ă  ça,Pour s’adapter Ă  ce qui n’épanouit vie est bien trop courte pour la perdre Ă  paraĂźtre, s’effacer, se plier, dĂ©passer, trop il nous suffit d’ĂȘtre,Et de lĂącher tout combat que l’on ne mĂšne bien souvent qu’avec soi,Pour enfin faire la paix, ĂȘtre en faisant ce qu’on aime,AuprĂšs de qui nous aime,Dans un endroit qu’on aime,Étant qui, nous sommes,Vraiment. »Oui, vous avez peut-ĂȘtre peur d’en faire moins. Commencez par faire ce que j’appelle “un arrĂȘt sur image”, repensez votre quotidien, imaginez, essayez, tentez, ne sera pas parfait, mais au final, vous gagnerez un bien-ĂȘtre physique, mental, Ă©motionnel, spirituel et sexuel Ă©panouissant et rayonnant. Prendre conscience de notre pouvoir de dĂ©cider de changer de notre quotidien, redonne le sourire, l’énergie, la flexibilitĂ©, la bienveillance et tout cela pour plus de sens, de joie, de bonheur que vous aimerez probablement ressentir et partager. Trop difficile Ă  envisager, alors essayez ce mantra “je choisis ici et maintenant de
 mĂȘme si je ne sais pas comment”.Belle journĂ©e de rencontre avec votre monde intĂ©rieur 🌾.đŸ€— Je serai ravie de lire vos commentaires.📚 Pour vous aider dans votre cheminement intĂ©rieur, je vous invite Ă  lire l’article Gardons une marge de manƓuvre !

alexandre jollien la vie est bien trop courte