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Laplupart des recruteurs font des recherches sur leur futur employé sur internet. Ils jugent donc les images renvoyées par les médias sociaux avant de prendre une décision. Avoir une mauvaise identité numérique est très mauvais pour le candidat. Cela diminue ses chances d’être recruté. Comment gérer son e-reputation ?
LeWeb enregistre 26 sites en 1992, plus de 600 sites en 1993, plus de 10000 sites en 1994 et pas moins de 45 millions de sites 2004. Le Web est devenu une plate-forme virtuelle où les entreprises rachètent les logiciels
BrigitteBarèges, la maire LR de Montauban, est renvoyée devant le tribunal correctionnel dans une affaire d’emploi fictif qui remonte à 2014. Elle
MarineLe Pen, présidente du FN, a renvoyé ce jeudi à Florian Philippot, son ex-bras droit, la responsabilité du retrait d'un jeune homme noir d'un visuel de
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Les pages et les sites du Web vont et viennent donnant à l’éphémérité des dimensions encore récemment inconnues. Mais comment les chercheurs dans cinquante ans, dans cent ans, pourront-ils comprendre notre monde où le Web tient une place aussi centrale ? Pour les aider dans leur futur travail, on s’efforce d’archiver le Web. C’était au cœur des discussions de l’AG de l’IIPC à la BnF. Heureusement pour vous, Binaire avait deux reportrices sur place. Elles nous font partager la passion des professionnels des archives du Web, des chercheurs qui en ont fait leurs objets d’étude, de Julien Masanes, le directeur de l’Internet Memory Foundation, et de ses amis. Serge Abiteboul Ray Clid[Un éléphant qui se balançait Sur une toile toile toile d’araignée. C’était un jeu tellement tellement amusant que, Tout à coup Badaboum!] Lundi 19 mai 2014 s’est ouverte à la Bibliothèque Nationale de France l’assemblée générale annuelle de l’International Internet Preservation Consortium, créé en 2003, qui réunit aujourd’hui 49 institutions travaillant ensemble à la préservation du Web mondial. La BnF, l’INA et l’Internet Memory Foundation ont uni leurs efforts pour faire de la première journée, ouverte au public, un moment d’échange entre les acteurs de la conservation du Web et les chercheurs qui utilisent ses archives. Dessine-moi une archive du Web ! Archives nationales Paris. Grands dépôts, l’Armoire de fer ouverte Archives Nationales Le Web est archivé depuis 1996, grâce à l’initiative de Brewster Kahle de créer Internet Archive et la Wayback Machine. Une entreprise titanesque comme l’expliquait son fondateur à Xavier Delaporte Place de la Toile en juin 2011 L’Internet Archive est une bibliothèque numérique à but non lucratif. Elle est située aux États-Unis et sa visée, à la fois sociale et technologique, est de permettre un accès universel à l’ensemble de la connaissance tous les livres, toute la musique, toutes les vidéos, accessibles partout, par tous. Notre but est de collecter le travail de l’humanité et de le rendre accessible à ceux qui voudraient l’utiliser pour s’instruire. Notre base, c’est ce qui a été publié, c’est-à -dire les choses qui ont été pensées pour être publiques un livre, une page web ou un billet de blog ; même les tweets… Brewster Kahle, Internet Archive “Le meilleur du web est déjà perdu”, internet Actu L’archivage du Web a pris place au rang des initiatives institutionnelles nationales, à l’instar de celui opéré en France par la Bibliothèque nationale de France et l’Institut national de l’audiovisuel. Depuis le 1er août 2006, la BnF a pour mission de collecter, conserver et communiquer les sites Internet du domaine français » au titre du dépôt légal. Quant à l’INA, il collecte les sites de médias audiovisuels, des sites qui enrichissent ou documentent les contenus de ces médias, comme les sites officiels de programmes mais aussi les blogs ou sites de fans essentiellement consacrés aux programmes de la radio ou de la télévision, et des sites des services de médias audiovisuels à la demande. Si les archives conservées par la BnF et l’INA sont consultables en salle, celles d’Internet Archive, en ligne, donnent un aperçu de leur étendue. En entrant l’URL d’un site dans la Wayback Machine, vous pouvez remonter dans le temps… Ces archives ont une valeur inestimable pour les chercheurs elles ouvrent la possibilité de retrouver un événement et son traitement sur la Toile, que ce soit le 11 septembre ou les élections présidentielles, de recomposer l’histoire du Web et de l’Internet, de retrouver des archives presse en ligne, etc., mais aussi des traces d’expressions individuelles et collectives de multiple nature et sur une diversité de sujets. Reste pour les chercheurs à s’emparer de ces sources aux possibilités infinies, mais qui soulèvent aussi des questions méthodologiques inédites ces archives abondantes posent la question de la constitution de corpus, des outils de fouille, des métadonnées ou encore de la gestion d’un véritable déluge informationnel, alors que le nombre de pages archivées se compte en milliards. Elles comportent aussi des lacunes collecte et préservation plus ou moins profonde et/ou ponctuelle des sites, droit de reproduction et accessibilité, etc. Partager des besoins, des rêves, des visions, des expériences, des données, des outils » Telles étaient les ambitions annoncées à l’ouverture de l’Assemblée Générale de l’IIPC. Et le pari était réussi au terme d’une journée où s’est succédée une vingtaine d’intervenants. L’initiative de l’IIPC d’associer les chercheurs à cette rencontre entre professionnels de l’archivage est assez remarquable pour être soulignée. Ceux qui se sont unis pour préserver la mémoire du Web travaillent depuis plusieurs années en interaction avec le monde de la recherche, comme en témoignent par exemple l’existence depuis 5 ans des Ateliers du DL Web organisés à l’INA par Claude Mussou INA et Louise Merzeau Université Paris Ouest Nanterre La Défense qui mêlent professionnels des archives et chercheurs. Le second point notable est l’extraordinaire diversité des disciplines concernées et des voies de recherche mémoires de la Grande Guerre analysées par Valérie Beaudoin Télécom ParisTech et Philippe Chevalier BnF en lien avec la BDIC, chansons francophones étudiées par Dominic Forest Université de Montréal, élections présidentielles françaises décryptées sur la Toile par Jean-Marc Francony et une équipe de l’université de Grenoble, histoire du Web danois par Niels Brügger de l’université d’Aarhus, etc. Le troisième constat est celui de l’extrême richesse des enjeux méthodologiques et de recherche que posent les archives du Web des keynotes de Dame Wendy Hall University of Southampton et Wolfgang Nejdl Université d’Hanovre mettant en avant les enjeux d’ouverture, d’interopérabilité, d’accessibilité, de droit à la mémoire comme à l’oubli, à la conclusion de Niels Brügger, instigateur du projet RESAW a Research Infrastructure for the Study of Archived Web Materials, qui vise à développer un réseau de la recherche et une infrastructure européenne pour l’étude du Web archivé, tous les intervenants de cette première journée ont contribué à souligner le potentiel mais aussi les défis que posent ces Big Data du passé en termes de politiques de conservation, d’ouverture voir l’initative Common Crawl et son usage par des chercheurs sur d’outils ceux créés par l’Internet Memory Research comme mignify ou Proprioception développé à l’INA, programme WebArt à l’université d’Amsterdam, de corpus et d’indexation à grande échelle corpus de 10 milliards de mots étudiés au National Institute for Japanese Language and Linguistics, de stabilité et pérennité le projet Hiberlink du Los Alamos National Laboratory, en lutte contre la dérive des liens et leur abandon, de cartographie du Web à la British Library derrière Helen Hockx-Hu, de conservation institutionnelle, etc. La table ronde animée par Clément Oury BnF a montré que les enjeux sont variés et loin d’être stabilisés, alors que l’archivage du Web lui-même n’a cessé de connaître des mutations depuis son origine. Louise Merzeau a ainsi distingué trois temps de cet archivage celui du modèle documentaire et des pratiques amateurs et pionnières, qui vise l’universalité de l’archivage tout en reposant sur des formes anciennes, à commencer par celle de la bibliothèque les années 1990, avec le grand projet fondateur Internet Archive, le temps de l’archive comme mémoire, qui retrouve le modèle de la copie savante ou de l’exemplar tout en procédant par bricolage, faute de mieux le début des années 2000, où l’on cherche à conserver, voire à figer la navigation en sauvegardant page par page les éléments de son corpus, et enfin le temps de l’archive temporelle qui intègre pleinement l’instabilité du Web de la fin des années 2000 à aujourd’hui, où se développe un archivage dynamique à l’image du Web lui-même. Comprendre ce qui se passe au niveau des machines et des institutions d’archivage est un enjeu important pour les chercheurs c’est comprendre les conditions de l’expérience scientifique, en refusant la logique de boîte noire. Ainsi, les accès à des données peu visibles, comme les logs informatiques pendant une récolte, peuvent être cruciaux, comme l’avancent Jean-Marc Francony et Anat Ben-David. Si la somme de pages et de données est telle que la mission d’un archivage universel est d’emblée vouée à l’échec, des initiatives comme celle présentée par Anthony Cocciolo de la Archive Team » rappellent aussi que des groupes de passionnés, nourris de culture hacker sauvent en les sauvegardant les sites en danger, en particulier les grands réseaux sociaux désaffectés à la suite d’un changement de mode dans les usages du Web Geocities, MobileMe, sont des exemples d’environnement populaires et peuplés du Web qui ont du jour au lendemain disparu ou vu leur accès verrouillé, privant leurs utilisateurs des données qu’ils avaient produites en leur sein. L’expérience de frustration du chercheur face à l’absence ou la perte des données est ainsi proche de celle des utilisateurs investis affectivement dans l’usage de leurs applications en ligne préférées. No-more-404 ? Certainement pas, mais les archives du Web soulèvent des enjeux de mémoire et de recherche passionnants, autant pour ce qu’elles conservent que pour leurs lacunes, de nature à stimuler l’imagination et l’ingéniosité des ingénieurs, des professionnels de l’archivage comme des chercheurs. Valérie Schafer ISCC, CNRS & Camille Paloque-Bergès HT2S, CNAM PS Un coup d’œil au passé avec le site Web de 19 octobre 1996 sur la Wayback machine
Déjà renvoyé en correctionnelle pour l'utilisation frauduleuse de passeports diplomatiques et de service, Alexandre Benalla affrontera un second procès pour des coups portés à des manifestants à Paris qui avaient suscité un scandale Benalla, ex-collaborateur d'Emmanuel Macron à l'Élysée, a été renvoyé en procès lundi 12 avril par le juge d'instruction chargé d'enquêter sur l'affaire des violences du 1er mai 2018 dans la capitale, d'après des sources lire aussiCovid-19, Benalla, Outreau à quoi servent toutes ces commissions d'enquête parlementaires ?L'ordonnance de renvoi au tribunal correctionnel datée de lundi 12 avril, quasi conforme aux réquisitions du parquet de Paris, renvoie l'ex-chargé de mission, reconverti dans le privé, devant le tribunal correctionnel pour violences volontaires», immixtion sans titre dans l'exercice d'une fonction publique» ou encore port d'arme» ou port public d'insigne» politiqueEn effet, le 18 juillet 2018, le quotidien Le Monde identifie le collaborateur du chef de l'État dans une vidéo tournée et diffusée le 1er mai par Taha Bouhafs, militant de La France insoumise devenu depuis journaliste. Dans ce document, Alexandre Benalla, coiffé d'un casque à visière des forces de l'ordre, s'en prend à un jeune homme à terre, sur la place de la Contrescarpe à Paris. En quelques heures, l'affaire se transforme en scandale politique et crée une crise sans précédent pendant la mandature d'Emmanuel parquet de Paris ouvre une enquête préliminaire le 19 juillet sur les faits de violences». Rapidement élargie à des faits de détournements d'images de vidéo-surveillance dont sont soupçonnés de hauts responsables policiers, cette affaire très sensible est confiée trois jours plus tard à des juges d'instruction. Alexandre Benalla est accusé d'avoir molesté des manifestants en marge du défilé du 1er-Mai, non seulement place de la Contrescarpe à Paris mais aussi, depuis d'autres révélations d'août 2018, au Jardin des AUSSI - 1er Mai, passeports, contrat russe... Le récap' des affaires BenallaÀ son côté, son acolyte Vincent Crase, ex-salarié de la République en marche, qui figurera sur le banc des prévenus pour les mêmes infractions. Les deux acolytes contestent les violences, estimant avoir aidé les forces de l'ordre à interpeller des manifestants qui leur jetaient des projectiles. En février 2019, Benalla et Crase ont passé une semaine en détention provisoire dans ce dossier, après que Mediapart avait dévoilé des enregistrements clandestins d'une conversation entre eux - datée du 26 juillet 2018, quatre jours après leur mise en examen - prouvant qu'ils avaient enfreint leur contrôle judiciaire et l'interdiction de se parler. Me Jacqueline Laffont, avocate de M. Benalla, n'avait pas répondu à l'AFP à la mi-journée. Me Christian Saint-Palais, avocat de M. Crase, n'a pas souhaité commenter cette décision anciens hauts gradés de la Préfecture de police de Paris, impliqués dans la remise des images des incidents de la place de la Contrescarpe à M. Benalla, sont également renvoyés en correctionnelle, notamment pour violation du secret professionnel». Il s'agit de Laurent Simonin, alors chef d'état-major adjoint de la puissante Direction de l'ordre public et de la circulation DOPC de la Préfecture de police, et de Maxence Creusat, commissaire de police de cette même DOPC. Le juge a prononcé en revanche un non-lieu pour un troisième fonctionnaire de police, Jean-Yves Hunault, qui avait initialement été mis en procès portera aussi sur un troisième volet le selfie que M. Benalla a pris, en exhibant un pistolet, durant la campagne présidentielle de 2017, lui vaudra d'être aussi jugé pour port d'arme illégal».Deux procès, trois enquêtesCinq manifestants se sont portés parties civiles dans ce dossier, dont le couple interpellé place de la Contrescarpe. L'affaire Benalla, lancée par ce dossier de violences, lui vaut depuis fin janvier un autre renvoi en procès, pour des soupçons d'utilisation frauduleuse de passeports diplomatiques et de service. Trois autres procédures sont encore en d'entre elles est liée au dossier du 1er-Mai un juge d'instruction poursuit depuis novembre 2019 les investigations pour savoir si M. Benalla a dissimulé des preuves, notamment des coffres-forts ou leur contenu, dans le cadre de l'enquête initiale sur ces violences. Le parquet national financier enquête sur des soupçons de corruption» après un contrat passé entre l'entreprise de Vincent Crase, Mars, et un oligarque russe, Iskander Makhmudov. Enfin, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour des soupçons de faux témoignage devant le Sénat».VOIR AUSSI - Benalla est-ce si grave ?
Exemple d’utilisation des outils du numérique en classe – Crédits Bataillon Philippe, INA Les outils du numérique sont plus en plus utilisés par les enseignants, animateurs, et toute personne susceptible d’intervenir auprès des mineurs, notamment pour valoriser les productions des enfants en les diffusant via un site web, ou pour partager les sorties pédagogiques, les activités périscolaires, etc. L’apport pédagogique de ces outils, qui viennent considérablement enrichir les supports traditionnels d’enseignement, n’est plus à démontrer. Cependant aujourd’hui la question de la diffusion des données personnelles des enfants et de leur droit à l’image se pose. C’est dans le cadre des ateliers internet que j’anime avec le service éducation-jeunesse de la ville de Vif pour des élèves de primaire, que je me suis donc trouvée confronté à la grande question de la demande d’autorisation parentale d’exploitation de l’image des mineurs. Que me faut-il pour avoir le droit de diffuser des photos de groupe des enfants participants à l’atelier sur le blog de l’atelier ? Peut-on se contenter de l’autorisation générale donnée par les parents à l’école en début d’année scolaire ? Que doit-on faire figurer sur cette demande ? Que dit la loi ? Cet article fait le point sur la question. Les Données personnelles, c’est quoi ? Les données personnelles sont des informations qui permettent d’identifier directement une personne. Ex. son nom, son prénom, son image photo et vidéo, sa voix, son adresse, son numéro de téléphone, etc. La photo d’un élève ou d’un groupe d’enfants reconnaissables relève donc de la donnée personnelle, et de son droit à l’image. Le droit à l’image des mineurs Le droit à l’image se fonde sur le principe de respect de la vie privée reconnu à toute personne, et en particulier au mineur article 9 du Code civil. C’est le droit de chacun d’autoriser ou non la publication et la diffusion de son image. En théorie, il est donc strictement interdit de photographier ou de filmer des gens et de diffuser ensuite leur image sur Internet ou sur n’importe quel autre média sans leur accord préalable sauf cas de foule ou de personnalité publique. Publier des photographies d’élèves mineurs sur internet doit donc toujours se faire avec l’accord des représentants légaux du mineur. Conformément à l’article 372 du code civil, les père et mère exercent l’autorité parentale en commun, et, sauf cas particulier d’autorité unique, l’autorisation doit être donnée par les deux parents. Cette demande d’autorisation d’utilisation de l’image d’un mineur écrite doit être communiquée aux parents ou tuteur, et devra préciser le cadre dans lequel l’image de leur enfant sera utilisée lieu, durée, modalité de présentation, de diffusion, support. Exception La portée du droit à l’image est moindre dans le cas de manifestations publiques, et si l’enfant n’est pas identifiable sur l’image en cause. Ex les manifestations sportives Les fédérations et organisateurs de manifestations sportives personne physique ou morale de droit privé, sont propriétaires du droit d’exploitation des images des manifestations et compétitions sportives qu’ils organisent articles L 333-1 et suivants du code des sports. l’UNSS peut ainsi utiliser l’image des élèves sportifs mineurs sans avoir au préalable obtenu l’autorisation des parents lors de manifestations sportives tels que cross, compétitions, etc. par dérogation aux dispositions de l’article 9 du code civil relatif au droit à l’image. Qu’est-ce qu’on met dans cette demande d’autorisation ? La demande d’autorisation fixe les modalités – de fixation de l’image animée ou fixe – de diffusion de l’image – de conservation dans le temps – d’usage – de support Elle doit mentionner les éléments suivants – l’entête de l’établissement/entité demandeuse – l’objet de la convention ex dans le cadre du film réalisé par…. Intitulé…. Et portant sur…. – la date de fixation de l’image début et fin du tournage si film ou date de la séance photo – la précision des modalités de diffusion diffusion interne ou externe, adresse du site ou blog, etc. – le support utilisé site, dvd, diaporama, etc. – la mention à titre gratuit » les personnes ne peuvent pas demander une rétribution après coup – le lieu du tournage ou de la séance photo – la durée de conservation de l’image et l’identité du responsable de sa détention – date et signature des DEUX parents Modèles téléchargeables Modèles proposés par le Ministère de l’Éducation nationale Modèle proposé par l’Académie de Rouen Modèle proposé par l’Académie d’Orléans Tours Modèle proposé par l’Académie d’Aix-Marseille Modèle proposé par l’Académie de Nancy-Metz Règles légales de publication dans le cadre scolaire par l’Académie de Dijon Peut-on se contenter d’une seule autorisation pour toute l’année ? Dans la mesure où la demande d’autorisation doit préciser les modalités et dates de fixation et de diffusion de l’image du mineur, on ne peut donc pas considérer qu’une autorisation parentale vaut pour toutes les utilisations de l’image d’un enfant sur une année scolaire. Une autorisation devra donc être demandée pour chaque cas, et adaptée selon le contexte de fixation et de diffusion. Ex une autorisation pour diffuser la photo d’un groupe d’enfants sur le blog de l’école, une autorisation pour le tournage et la diffusion d’une vidéo avec les enfants dans le cadre d’une sortie scolaire, une autre pour la diffusion de vidéos et de photos du spectacle de fin d’année, etc. Tout accord doit légalement être accompagné d’un droit de retrait. En cas de diffusion sur internet, les parents et l’enfant ont le droit de demander à tout moment la suppression de l’image. Il est donc nécessaire de préciser pour chaque demande d’autorisation la personne qui sera en mesure d’accéder à cette demande webmaster, animateur, responsable municipal, responsable scolaire, etc. Il est possible de se passer d’autorisation parentale dans certains cas de photos de groupe, en passant par le floutage. Attention toutefois à ce qu’aucun signe particulier ou distinctif ne puisse permettre de déterminer l’identité des enfants. D’une manière générale, prévenez les enfants si vous les prenez en photo, demandez leur accord certains peuvent refuser, il convient de respecter leur choix, et montrez leur les photos et vidéos avant de les mettre en ligne, afin d’éviter les photos où les enfants ne se sentiraient pas à leur avantage. Les enfants en plein travail sur leur tablettes connectées Sur le site web et sur le blog Les textes et légendes accompagnant les photos/vidéos ne doivent jamais mentionner d’information susceptible d’identifier directement ou indirectement leur famille nom de famille, adresses, etc. Par ailleurs, il peut-être utile de créer une page du type Protection de la vie privée » sur laquelle afficher les informations suivantes – les images montrant des enfants ont fait l’objet d’une autorisation de la part de leurs parents – il est interdit de reproduire/enregistrer et diffuser ces images. – la personne à contacter en cas de demande de retrait Il est également possible de placer un lien de type vie privée » à coté de chaque photo/vidéo vers cette page. Les listes d’élèves avec photos individuelles ne sont pas interdites mais doivent être strictement réservées au réseau interne de l’établissement ou de l’entité, non accessibles au grand public, et non téléchargeables. Gardez à l’esprit qu’utiliser l’image des enfants, notamment en ligne, est toujours quelque chose qu’il faut bien encadrer. Prévoyez plusieurs modèles de demande d’autorisation, qui conviendront pour chacun de vos besoins/cas/évènements, assurez-vous d’avoir la signature des DEUX parents sur le même document ou sur 2 documents différents, et surtout, assurez-vous d’avoir l’accord de l’enfant sur sa photo/vidéo avant mise en ligne pour être sûr que l’image lui plaise, car c’est quand même le premier concerné !
Une question est souvent posée, Comment Appelle T-on L'image D'une Personne Renvoyee Par Le Web? Comme de nombreux interaute. J’ai des réponses. Cet article a pour objectif de vous parler du Comment Appelle T-on L'image D'une Personne Renvoyee Par Le Web avec images et vidéos. 3 on une question en faisant une recherche sur le web, un recruteur peut se faire une idée d'un candidat avant de le rencontrer. Abonnez vous n'hésites pas à regarder mes autres vidéo Contrôler et construire cette identité numérique est important, car il s’agit de la construction et du contrôle de soi. Des habitudes simples et la mise en place d’une stratégie peuvent vous. L'image d'une personne renvoyée par le web/PIX explication vidéo Abonnez vous N'hésites pas à regarder mes autres vidéo Images associées Comment Appelle T-on L'image D'une Personne Renvoyee Par Le Web Cette image intervient lors de la recherche d’un emploi par exemple. La plupart des recruteurs font des recherches sur leur futur employé sur internet. Si vous tombez sur cette question dans un quizz, vous pourrez donner la réponse une fois cet article lu. L’image qu’une personne physique ou morale a sur le web. Le souci avec le concept est que […] La notion d’ identité numérique » peut également désigner tout élément permettant d’identifier une personne sur internet. En d’autres termes, votre adresse ip, vos photos, vidéos et publications sur les réseaux sociaux, par exemple. Moteurs de recherche, plateforme de test, réseaux sociaux, parole orale etc. Le droit à l’image est un droit d’auteur.
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